top of page
Rechercher
  • Photo du rédacteurPJGE

Kairos : des chiffres et fruits d'évaluations

Dernière mise à jour : il y a 3 jours

L'histoire des retraites Kairos commence il y a bien longtemps. Basé sur un concept "Cursillo" né en Espagne dès les années 50, les retraites Kairos, destinées aux jeunes, commencent aux Etats-Unis dans les années 80 et s’imprègnent de spiritualité ignatienne.

A Genève, la mission anglophone a introduit Kairos dans la proposition pour les confirmands. Une traduction et quelques adaptations plus tard, la première retraite a lieu en français en 2010, celle qu'on appelle Kairos #1 (ou K#1). Cet article parle des retraites vécues depuis.

En treize ans, il y a eu

20 retraites

571 jeunes participants

140 ont qui été formés à l'animation

70 adultes qui les ont accompagnés, plus de la moitié d'entre eux ont un jour été retraitant ou/et animateur.



Chaque retraite est marquée par le lieu qui l'accueille. La Pelouse à Bex a reçu les 2 premières retraites ; puis l'école des Missions au Bouveret en a vu passer 6 ; la Fauconnière à Giron 4 ; et dans le lieu actuel, le centre de Vacances du Chenex à St-Paul-en-Chablais, se sont déjà vécu 8 retraites


Ce que disent les participants : les évaluations

A la fin de chaque retraite, les participants remplissent une évaluation en rentrant. A la questions "qu'a été la retraite pour toi ?" Les retraitants disent librement que cela à été un temps intense, riche en émotions, un temps pour méditer sur soi, sur Dieu et sa foi; c'est aussi un temps fort de partage vécu en communauté.


La quasi totalité des participants repartent très heureux d'avoir vécu l'expérience, même si dans la moitié des cas ils sont venus plutôt par obligation. Après trois jours de retraites, 67% d'entre eux se disent motivés à devenir eux-mêmes animateurs. Deux ans plus tard 30% des jeunes ayant participé s'engagent effectivement dans la préparation d'une retraite et deviennent après un cheminement de presque un an les nouveaux animatrices, animateurs Kairos.


Mais tous ces chiffres et ces belles statistiques ne sont que la partie superficielle. Ce qui compte vraiment ne se mesure pas. Il se vit au cœur de chaque personne présente, dans l'intime de l'être, là où l'amour de Dieu cherche à se faire accueillir, à montrer sa miséricorde et révéler à la personne sa valeur que rien ne peut abimer.

124 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout
bottom of page